Cadrans solaires

La Ville d’Auxonne possède de nombreux cadrans solaires, dont certains ont disparu.

Ces cadrans solaires permettaient d’indiquer l’heure solaire, grâce à l’ombre projetée par un style.

  • Le cadran solaire vertical situé au 54 bis rue Antoine Masson a été tracé en 1826 par Jean-Claude Jeunet, horloger à Auxonne, et installé sur la façade de sa boutique côté Grande Rue. L’inscription est toujours lisible « SOL LUCET OMNIBUS » (le soleil luit pour tous).
  • Le cadran solaire vertical situé sur la façade de l’Hôtel de Ville, peint au XIXe siècle.
  • Le cadran solaire vertical du château, situé sur la façade de la porterie côté cour, a été peint (non daté).

Deux cadrans sont situés dans le Quartier Bonaparte des casernes. Selon la tradition, ils ont été tracés par des officiers de ces régiments dans le cadre de travaux pratiques de mathématiques, sous la direction de Jean Louis Lombard. Napoléon Bonaparte était alors lieutenant en second au Régiment de la Fère à Auxonne ; il est possible qu’il soit à l’origine du cadran de 1789,

  • Le cadran solaire vertical des casernes (1773), situé sur la façade du Pavillon de la Ville a été tracé par le Régiment Royal d’artillerie de Grenoble, en garnison à Auxonne de 1769 à 1775.
  • Le cadran solaire vertical des casernes (1789), situé sur le Pavillon Royal a été tracé par le Régiment Royal d’artillerie de la Fère, en garnison à Auxonne de 1787 à 1792.