« Dans une chorégraphie élégante, agenouillée au sol, tournant autour de son œuvre ou debout les deux pieds plantés solidement dans la terre, Marjolaine Salvador-Morel élabore des sculptures faites de fil nylon. L’aiguille, ses mains, son corps, son âme sont des pinceaux, le fil en est la trace. Ses architectures sont des éloges à la nature entre terre et ciel. Elles dialoguent avec le...